Comment choisir son capteur de puissance ?
Autrefois réservés aux professionnels du domaine, les capteurs de puissance sont maintenant bien plus abordables et disponibles pour les cyclistes amateurs et les débutants. En effet, que vous pratiquez du vélo ou du VTT, que vous soyez plus piste que gravel, ces petits accessoires connectés, véritable concentré de technologie au service de ses utilisateurs, vous apporteront une plus value impressionnante et vous permettront de booster vos performances.
Mais il existe de nombreux modèles, tous plus spécifiques les uns que les autres. C’est pourquoi notre équipe à réalisé de nombreux tests pour vous offrir une sélection sur mesure qui vous permettra facilement de trouver votre futur partenaire électronique.
Notre sélection de capteurs de puissance
- SRAM Quarq Red AXS DUB – Le meilleur capteur haut de gamme
- Shimano FC-R9100-P Ss – La meilleurs analyse
- FSA Powerbox – Le meilleur pour le vélo de route
- Garmin Rally RS 100 – Le meilleur pour le VTT
- Rotor Inpower direct mount – Le plus complet
SRAM Quarq Red AXS DUB – Le meilleur capteur haut de gamme
Le Quarq Red de SARM est un capteur de puissance mono-plateau qui à été développé pour le VTT à l’origine. Evidemment, les cyclistes de route ne se sont pas gêné de s’en servir et les avis sont unanimes : il est idéal pour la montagne. Son capteur, caché dans l’axe du pédalier, est amélioré par la technologie quarq dZero. La gestion et l’analyse sont donc parfaitement optimisées. Niveau précision, c’est un vrai bijoux : 1.5 % d’erreur annoncée par le constructeur, mais aussi la possibilité d’analyser les deux jambes séparément, un vrai plus pour améliorer sa position et maximiser les efforts
Mais ce n’est pas tout, car ce capteur de puissance est également doté du double standard de connexion : à la fois Bluetooth smart et ANT+. De quoi pouvoir le connecter avec n’importe quelle montre connectée ou smartphone. Son application liée, SARM AXY, propose un affichage du compteur plutôt plaisant et assure la mise à jour régulière du capteur.
Il existe deux versions de ce capteur actuellement sur le marché, la version classique pour les plateaux de 50 à 40 dents et une version aéro haut de gamme spécialement pour les plateaux de 50 et 48 dents. Tous deux sont équipés de manivelles en carbone ultra-rigides ainsi que de la technologie X-Sync développée par SARM qui optimise la ligne de chaîne.
En somme, ce capteur de puissance est un excellent choix. Ses matériaux, sa technologie, sa précision et ses analyses justifient totalement son prix. Que vous soyez plus grimpeur que rouleur, que vous soyez un adepte de triathlon ou un spécialiste du CLM, vous serez séduits par le Quarq Red AXS de SARM.
Shimano FC-R9100-P Ss – La meilleurs analyse
Le FC-R9100-P est une vraie réussite de Shimano. Malgré son prix plutôt élevé, le capteur de puissance fait tout de même partie des meilleurs capteurs de puissance au niveau rapport qualité/prix. Son analyse distingue les jambes droites et gauches, vous permettant de faire un meilleur rapport après l’entraînement et détecter les éventuelles différences entre les deux pieds. Compatible en Bluetooth smart et en ANT+, il fournit des données d’une qualité surprenante : 2% d’erreur max. Son design, très plaisant, est optimisé pour s’intégrer parfaitement bien dans la mécanique de votre vélo. Les capteurs sont installés dans les manivelles, une position avantageuse qui le rend très efficace.
Côté pratique, il est terriblement facile d’utilisation : vous n’aurez aucun mal à mettre en place un plan d’entraînement personnalisé qui vous permettra de progresser rapidement. Son utilisation ne sera en outre jamais influencée par la niveau de batterie puisque la marque annonce plus de 300 heures d’autonomie, de quoi faire de nombreuses sorties sans même se poser la question.
Niveau analyse et gestion des données, on ne peut pas rêver mieux. En effet, ce capteur peut être lié avec n’importe quel logiciel de compteur (comme Garmin Connect ou Bryton Activ), mais aussi avec un logiciel spécialisé de même genre que Training Peaks. Ce qui vous permettra de faire un suivi efficace et d’effacer les petites erreurs rapidement.
Finalement, le FC-R9100-P est un capteur d’exception. Shimano s’est véritablement surpassé pour nous offrir un tel concentré de technologie. Son design intelligent ainsi que sa grande capacité d’analyse en font un capteur haut niveau qui saura séduire les sportifs exigeants.
FSA Powerbox – Le meilleur pour le vélo de route
Le FSA Powerbox est un capteur de puissance décliné en deux modèles : une version en aluminium et une en carbone. C’est un pédalier complet qui contient même les plateaux (vous aurez le choix entre trois combinaisons : 50/34, 52/36 et 53/39). Ces capteurs haut de gamme affichent tous deux une autonomie surprenante grâce à sa pile CR2450. A l’évidence, comme de nombreux capteurs de cette catégorie, l’autonomie tourne autour des 350 heures d’utilisation à pleine puissance. De plus, son analyse est séparée pour les deux jambes. Un point fort qu’il ne faut pas sous-estimer.
Niveau précision, la marque taïwanaise ne cesse de se surpasser. Ce modèle en est la preuve : moins de 2% d’erreur annoncée. C’est grâce à sa technologie de pointe qu’un score pareil est possible. D’une part, le capteur de puissance est doté d’un accéléromètre qui détermine avec précision la cadence de pédalage. De l’autre, il y a la fonction Auto-zéro qui s’active lorsque les pédales ne sont pas en mouvement pendant plus de trois secondes. Une technologie très pointue pour supprimer les petites erreurs.
La qualité de fabrication est également traduite par les finitions et les matériaux de qualité. En effet, FSA à reconnu travailler avec Power2Max. Les capteurs sont donc élaborés et produits en allemagne, là où les standards de qualités sont bien plus conséquents.
En somme, ce capteur semble empiler les qualités, le tout à un prix concurrentiel intéressant. Son format, compatible avec la majorité des cadres, lui permet de mesurer la puissance avec une très bonne précision et de détecter les erreurs les plus infimes. Une aubaine pour les cyclistes qui recherchent l’efficacité et la précision.
Garmin Rally RS 100 – Le meilleur pour le VTT
Après leurs nombreuses réussites dans le domaine du GPS pour vélo, le géant américain s’est enfin attaqué aux capteurs de puissance. La gamme Rally, installé dans la pédale, est véritablement iconique. Mais nous avons dû nous concentrer sur un modèle en particulier et c’est le RS 100 qui nous a vraiment convaincu. Ses capteurs ont été optimisés par le retour d’expérience des vector, mais aussi par de nombreux tests en conditions extrêmes. Faciles à installer, c’est l’idéal pour passer rapidement d’un VTT à un gravel sans devoir démonter votre vélo.
Malgré la mesure de la puissance qui ne se fait que sur un seul pied, la précision annoncée par la marque est plutôt satisfaisante pour les amateurs. En revanche, elle risque d’être parfois limitée pour les pros. Il existe toutefois une autre version qui est capable de telles mesures : Le Garmin Rally RS 200, plus coûteux mais bien plus conséquent en termes d’analyse.
La gamme rally, adaptée aux cales du type Shimano SPD-SL, est compatible avec l’immense majorité des compteurs GPS et des montres connectées. En effet, il est possible de s’y connecter avec les normes classiques des capteurs sportifs : ANT+ et Bluetooth smart. Un avantage certain pour pousser l’analyse encore plus loin.
Finalement, le RS 100 permettra une analyse complète et intéressante grâce à l’application Garmin Connect qui affichera vos résultats sous forme de graphiques. Vous pourrez entre autres déterminer le temps passé dans les différentes zones d’intensité, mais aussi vos pics de puissance et la puissance moyenne de l’entraînement. De nombreuses données qui permettront de perfectionner votre technique et exploser vos records.
Rotor Inpower direct mount
Le Rotor Inpower direct mount est le tout dernier capteur de puissance de chez Rotor. Il est équipé de la même technologie de mesure de puissance que le modèle INPOWER, mais cette fois-ci, elle est intégrée dans l’axe et compatible avec ANT+ et Bluetooth. En d’autres termes, le capteur est placé à l’intérieur du pédalier, ce qui permet une mesure de puissance précise et fiable, indépendamment des facteurs externes.
Ce petit bijou utilise des piles AA 1,5V et permet le transfert des données via ANT+ et Bluetooth, ce qui en fait un compagnon idéal pour les appareils Garmin, Bryton et Wahoo. Avec son poids léger, le Rotor Inpower direct mount est parfait pour une utilisation à la fois en entraînement et en compétition. Il est également doté d’une analyse à 360° du couple (TORQUE 360).
Le Rotor Inpower direct mount est compatible avec les standards BB30, BBright, BB386, PF30, BB86, BSA et ITA. Il pèse seulement 596 g (sans les plateaux) et mesure 172,5 mm de longueur de manivelle. Son matériau en aluminium et son axe de pédalier de 30 mm en font un choix de qualité supérieure. Il utilise le standard de pédalier Rotor UBB30 (axe long BB30), n’inclut pas de boîtier et est compatible avec des plateaux doubles.
En résumé, si vous recherchez un capteur de puissance de haute qualité et facile à utiliser, le Rotor Inpower direct mount est un excellent choix.
Qu’est ce qu’un capteur de puissance ?
Un capteur de puissance mesure – comme son nom le laisse suggérer – la puissance motrice exercée par vos jambes pendant une sortie à VTT ou la montée d’un col. Mais si cette notion de puissance n’est pas toujours claire pour les sportifs, il faut l’appréhender comme un indicateur qui traduit l’intensité de l’effort musculaire.
Comment fonctionne-t-il ?
Pour déterminer la puissance motrice, le capteur prend en compte deux éléments distincts, la cadence de pédalage (vitesse des pédales) et la quantité de force appliqué sur celles-ci (bracket). Il est essentiel de pouvoir décomposer la puissance de cette manière puisque ces deux mécanismes peuvent être améliorés individuellement pour optimiser la puissance et la vitesse.
Quelle différence avec un cardiofréquencemètre ?
Souvent opposés aux cardiofréquencemètres, les capteur de puissance ne fournissent pas vraiment le même type de données. En effet, si la fréquence cardiaque est un bon indicateur de santé, pour traduire la qualité de l’effort musculaire, il n’est pas vraiment satisfaisant, surtout lors d’efforts courts et intenses comme un sprint de quelques secondes. Le capteur de puissance, en revanche, permet d’obtenir un résultat cohérent qui ne dépend pas d’autant de facteurs. Votre forme physique, votre fatigue ou d’autres facteurs extérieurs ne pourront pas influencer ses mesures.
La notion de puissance
Si cette notion n’est toujours pas claire, ne vous inquiétez pas. La plupart des sportifs l’utilisent sans vraiment comprendre ce qu’elle signifie. En physique, on décrit la puissance comme une énergie divisée par une unité de temps et ce rapport est exprimé en Watts. Mais ce n’est pas la seule définition possible. On peut aussi la voir comme une force qui multiplie une vitesse. C’est à vous de voir quelle définition donne le plus de sens.
Dans le domaine du cyclisme, on peut donc appliquer ce concept de cette manière : La puissance mécanique qui met le vélo en mouvement correspond à la vitesse des pédales multiplié par la force exercée par vos jambes. C’est la définition utilisée par nos capteurs, mais il n’est pas faux de le voir comme la quantité d’énergie produite en une seconde.
Par exemple, un cycliste roule pendant 10 minutes à une puissance moyenne de 150 W, cela signifie qu’il à produit 10 x 60 x 150 = 90 kJ.
La puissance relative
Vous l’aurez compris, cette notion de puissance est extrêmement utile pour les cyclistes. Mais lorsqu’ils veulent se comparer, la puissance seule n’a pas vraiment de sens. En effet, si l’on considère le cas de deux sportifs, le premier pèse 80 kg et sa puissance moyenne se situe autour des 320 W, son ami pèse 60 kg et sa puissance moyenne vaut 240 W. Le plus lourd est alors convaincu qu’il est bien plus fort que son ami. Mais à l’évidence, si il est vrai que sur le plat, il pourra aller bien plus vite, ils seront tout à fait égaux lors d’une montée.
Pour l’expliquer, il faut définir la puissance relative : c’est le ratio entre la puissance et le poids exprimé en W/kg. Dans notre exemple, les deux sportifs ont la même puissance relative : 4 W/kg.
Quelles sous-catégories choisir ?
Les capteurs de puissance existent sous de nombreuses formes, toutes plus spécifiques les unes que les autres. Des capteurs installés dans l’étoile des manivelles jusqu’aux capteurs directement intégrés dans les pédales, voici un tour d’horizon de ces nombreuses sous-catégories.
les capteurs dans le pédalier
On commence par le haut du panier ! Les capteurs de puissance intégrés dans les pédales sont à la fois les plus chères et les plus précis. C’est même sûrement la meilleure catégorie de capteurs sur le marché. Très utilisée par les pros, on en retrouve des modèles simples, mais aussi des hybrides qui comprennent les paliers. Ce qui leur permet d’être autant complets, c’est leur position avantageuse, proche du point de pression. Un avantage qui reste parfois embêtant puisqu’ils sont plus difficiles à installer.
les capteurs dans les pédales
Les capteurs de puissance sous forme de pédale sont les plus communs sur le marché. Appréciés des sportifs occasionnels, ils profitent du meilleur rapport qualité/prix/analyse. On pense notamment au fait que les mesures se font sur les deux pieds. Un avantage pour détecter votre pied fort, mais aussi pour optimiser la cadence de pédalage. Finalement, ces capteurs sont faciles d’utilisation et l’installation est très rapide, l’idéal si vous possédez deux vélos.
les capteurs dans l’étoile des manivelles
Les capteurs situés sur l’étoile des manivelles représentent le choix le plus fiable. Très abordables et faciles d’utilisation, ces capteurs de puissance permettent d’obtenir des chiffres d’une bonne précision (celle-ci peut varier en fonction des marques et des modèles). S’ils sont rapidement installés, c’est grâce à leur position. Toutefois, ils ne peuvent malheureusement pas vous renseigner sur le cycle de pédalage et encore moins des puissances relatives de chaque pied.
les capteurs dans la manivelle
Finalement, on retrouve les capteurs directement installés dans la manivelle. La plupart du temps d’entrée de gamme, ces capteurs sont de loin les plus simples à utiliser. De par ces deux grandes qualités, il s’est hissé à la première place aux yeux de nombreux amateurs. Ils n’offrent pourtant pas une analyse si cohérente. En effet, la mesure de la puissance ne se fait uniquement sur un côté. Pour obtenir la valeur finale, le capteur se contente de multiplier le résultat par deux, sans prendre en compte une quelconque différence entre les deux jambes. C’est dès lors facile de comprendre pourquoi les pro n’en veulent pas.
Question fréquentes
Comment mesurer la puissance à vélo ?
Pour mesurer la puissance lors d’une sortie en vélo de route ou en VTT, il est essentiel de s’équiper d’un capteur de puissance. Il en existe de nombreux modèles qui ont chacun leur propre système. Les principaux sont ceux dans la manivelle, dans les pédales, dans le pédalier, dans le moyeu ou encore dans l’étoile des manivelles. Il y en a pour toutes les gammes de prix et tous les niveaux.
Les principales marques d’accessoires connectés pour vélos ont toutes un système préféré. Par exemple, Garmin fabrique principalement des pédales alors que SRM semble préférer le système intallées dans un pédalier. PowerTap, de leur côté, ont été pendant de longues années spécialisées dans les moyeux. Il y a tout de même une exception qui confirme la règle : Shimano qui est plutôt bien diversifié.
Un fois que vous aurez choisi le capteur qui vous convient le mieux, il ne reste plus qu’à l’installer et le connecter à votre smartphone. Vous pourrez dès lors faire un suivi précis de l’entraînement et déterminer les deux facteurs importants pour optimiser votre vitesse : la cadence de pédalage et la force produite par vos jambes droites et gauches combinées.
Pourquoi utiliser un capteur de puissance ?
Un capteur de puissance proposé en règle générale un suivi complet de la puissance mécanique produite par un cycliste. Son système analyse pour cela l’évolution de deux métriques bien différentes : la cadence de pédalage (vitesse de rotation des pédales) et la force mécanique fournie par les jambes du cyclistes en question.
Son utilisation est plutôt semblable à un cardiofréquencemètre classique. Pour optimiser votre entraînement, il faut déterminer la puissance maximale aérobie (puissance mécanique produite lorsque le métabolisme consomme tout l’oxygène disponible) et mettre en place des zones de puissances exprimées en pourcentage de la PMA.
Cette pratique vous permettra de progresser dans tous les sports, que ce soit le triathlon, le VTT ou le vélo de route. En effet, si vous vous en tenez à zone idéale pour atteindre votre objectif, les progrès ne se feront pas attendre.
Pourquoi choisir un capteur de puissance pour un vélo de route
Si vous cherchez le meilleur capteur de puissance pour votre vélo de route, vous avez le choix parmi de nombreux modèles. On compte parmi ces choix le Power Meter de Shimano (le power meter de Shimano est présenté dans notre sélection.). Le power meter est un capteur terriblement efficace qui utilise les stages de Sarm et le Rotor d’Assioma pour utiliser la partie électrique des pédaliers. Si la manivelle n’est pas recommandé pour un capteur comme le Power Meter (en tout cas sur la route).
N’hésitez pas non plus à vous équiper d’une pièce d’équipement classe comme un maillot. Assioma produit des maillots de très grande qualité, mais ce n’est pas leurs spécialité puisqu’ils préfèrent produire de pièce d’équipements de haut qualité comme les capteurs de puissance. On peut par exemple citer leurs modèles de capteur placé dans le pédalier, mais également les capteurs étoilés et dans l’étoile de manivelles. On peut d’ailleurs comparer la marque à Powercrank, SRM, Inpeak, Assioma, Garmin et Simano.
Qu’es qu’un capteur de cadence ?
Les capteurs de cadence sont des petits capteurs très abordables destinés au cycliste 2.0. Ces accessoires connectés se contentent simplement de déterminer la vitesse de rotation des pédales lors d’une décente en VTT ou d’une course de triathlon. Cette métrique, bien qu’elle puisse paraître plutôt simple au premier abord, est extrêmement utile pour déterminer l’efficacité d’un entraînement.
Quel type de capteur de puissance vélo ?
Les capteurs de puissance pour vélo sont disponibles sous plusieurs formats de capteurs. Ces accessoires peuvent par exemple se situer au niveau du pédalier (les capteurs de puissance pour vélo dans le pédalier sont produits par des marques comme FSA, Garmin, SRM home, Dub, Quark, Sram et Shimano). On trouve également des capteurs de puissance dans les pédale ou simplement une des pédale. Garmin à par exemple sortit sa gamme Garmin Rally qui figure dans notre sélection. La transmission est souvent étoilée, mais ce n’est pas sans compter sur le fait que le SRM home vous permettra de mouiller le maillot et de ne plus vous assoir sur votre selle.
Certains accessoires capteurs de puissance sont situé dans l’étoile de manivelles, au niveau du pédalier. Elle sont mouvement plus précises que les capteurs installés dans les pédales puisqu’elle mesurent directement la transmission de force depuis les pédale jusqu’aux roues en passant par la selle. Lorsque vous croissez un compteur de puissance installé dans la pédale gauche de votre vélo, pensez au fait que votre pied gauche est moins puissant que votre pied droit. Vous risquez de sous estimer la transmission de la force vers vos jambes depuis la selle.
Le Vélo et le VTT sont des sports ou il ne faut pas avoir peur de payer le prix. En effet, que ce soit pour une montre de vélo, un compteur GPS ou un capteur de puissance, les prix sont relativement élevés. Mais obtenir des données de qualités, rester motivé et avoir la possibilité de se perfectionner à un prix. N’ayez donc pas peur de craquer pour un modèle électrique qui mesurera des données précises grâce à la transmission de haut vol.